Annie Quatresol Dieufrance
Elle jongle avec les activités artistiques.
Parmi lesquelles figure en bonne place LA POÉSIE
Parmi lesquelles figure en bonne place LA POÉSIE
Très jeune, elle manifeste une passion particulière pour la musique des mots bientôt récompensée par de nombreux prix
(voir la page Récompenses)
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du tableau-poème
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Imagine l'échelle du temps de la vie
Matérialisée devant ta mine ravie
Par quelques diaporamas sans comparaison !
Réel et virtuel font fi de la raison ...
Ensemble effeuillons chaque décennie superbe !
Marions les dizaines aux mois-clefs des saisons !
Il t'envole, des limbes vers l'acquis du verbe,
Le doux mois d'avril de tes premières années.
Le goût de l'émulation t'a vite entraînée
Sur les sentiers du succès avant tes vingt ans...
Viens butiner le flou du joli mois de mai,
Muse gourmande, car l'intemporel t'attend ...
La magie de l'enfance, évanouie désormais,
Laisse grand la place aux plus doux enchantements,
Aux joies indicibles d'être à son tour Maman.
Tu joues ton mois de juin comme une sonatine.
Bien après tes printemps, j'aime en toi la mutine.
Tu peux sourire au demain secret qui promet...
Ta décade de trentaine te mène au lieu ...
Unique, féérique, sacré à mes yeux :
Celui de l'empyrée. C'est juillet qui t'emporte !
La jeunesse épanouie danse et frappe à ta porte.
C'est au chiffre quarante que tu es fin prête
Pour apprécier ton destin fantasque ou poète.
Ne crains pas , mon amie, tous les mois qui vont suivre !
Chaque âge permet de goûter la joie de vivre.
Puis, lorsque le mandala t'intrigue enfin,
Avec ses mystères, ses messages sans fin,
Octobre apparaît, t'irradiant de sagesse.
De l'éternelle jeunesse, le coeur humain
Détient le secret. Bel épître d'allégresse...
Tu peux te réjouir : chantent clair tes lendemains !
Ô femme, quelle que soit l'étape de ton âge,
Tu ne cesses d'égrener tes plus belles pages...
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Les quatre saisons d'une vie féminine
Imagine l'échelle du temps de la vie
Matérialisée devant ta mine ravie
Par quelques diaporamas sans comparaison !
Réel et virtuel font fi de la raison ...
Ensemble effeuillons chaque décennie superbe !
Marions les dizaines aux mois-clefs des saisons !
Il t'envole, des limbes vers l'acquis du verbe,
Le doux mois d'avril de tes premières années.
Le goût de l'émulation t'a vite entraînée
Sur les sentiers du succès avant tes vingt ans...
Viens butiner le flou du joli mois de mai,
Muse gourmande, car l'intemporel t'attend ...
La magie de l'enfance, évanouie désormais,
Laisse grand la place aux plus doux enchantements,
Aux joies indicibles d'être à son tour Maman.
Tu joues ton mois de juin comme une sonatine.
Bien après tes printemps, j'aime en toi la mutine.
Tu peux sourire au demain secret qui promet...
Ta décade de trentaine te mène au lieu ...
Unique, féérique, sacré à mes yeux :
Celui de l'empyrée. C'est juillet qui t'emporte !
La jeunesse épanouie danse et frappe à ta porte.
C'est au chiffre quarante que tu es fin prête
Pour apprécier ton destin fantasque ou poète.
Ne crains pas , mon amie, tous les mois qui vont suivre !
Chaque âge permet de goûter la joie de vivre.
Puis, lorsque le mandala t'intrigue enfin,
Avec ses mystères, ses messages sans fin,
Octobre apparaît, t'irradiant de sagesse.
De l'éternelle jeunesse, le coeur humain
Détient le secret. Bel épître d'allégresse...
Tu peux te réjouir : chantent clair tes lendemains !
Ô femme, quelle que soit l'étape de ton âge,
Tu ne cesses d'égrener tes plus belles pages...
© Annie Quatresol Dieufrance
Ce poème ne peut être reproduit sans l'autorisation de son auteur